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Comment se sent un nuage le jour de son anniversaire ? Plus vieux ! :D
Les temps sont durs loin de sa famille. On apprend à apprécier les joies simples. Cela commence par les petits plats maison fait avec amour. Il est temps d'arrêter de manger des plats préparés achetés à la supérette du coin et à apprendre à se servir d'un couteau. Je vous propose une recette toute simple, qui réveillera votre nostalgie et vos papilles.
Vous aurez besoin pour 3 personnes (ou pour vous et quelques restes à emmener au travail/cours) : - 150 g de riz thaï - 1 carotte - 1 concombre - 100 g de germes de soja - 100g de champignon shiitakés - 100 g de pousses d'épinard (si de saison, optionnel) - 1 gousse d'ail - 1/2 morceau de gingembre râpé - 250 g de bœuf type pavé de rumsteak - 3 œufs - 1.5 cuillère à soupe de sauce soja - 1.5 cuillère à soupe d'huile de tournesol - 2 cuillères à soupe de sucre roux - 2 cuillères à soupe de vinaigre de riz - 2 cuillères à soupe d'huile de sésame
Maintenant que votre liste de course est faite, il est temps de préparer ce fameux bibimbap.
1. Commencer par faire cuire le riz selon les instructions recommandées (15 min la plupart du temps). Penser à mettre une alarme sur votre téléphone.
2. Pendant que le riz cuit, tout en le surveillant du coin de l’œil, préparer la sauce. Pour cela, mélanger le sucre, l'huile de sésame, le vinaigre de riz, l'ail que vous aurez écrasé et un petit morceau de gingembre découpé en petits morceaux.
3. Couper le boeuf en très fines lamelles, les placer dans la sauce et mettre au frais. Il va ainsi mariner.
3.5. (vérifier la cuisson du riz)
4. Couper la carotte et la courgette en fines lamelles. Émincer les champignons.
5. Dans une grande poêle ou un grand wok, faire revenir les légumes avec un peu d'huile de tournesol et un peu de sauce soja.
6. Faire cuire 2 minutes le boeuf dans un peu d'huile bien chaude.
7. Ensuite, faire cuire les oeufs (oeufs au plat).
8. Dresser l'ensemble dans des grands bols avec du riz au fond, des légumes autour, et la viande et/ou le riz au milieu.
Nous n'avons jamais eu autant entendu parler de l'OMS [Organisation Mondiale de la Santé]. L'OMS est l'agence des Nations-unis spécialisée dans les questions sanitaires. Née en 1948, l'OMS se fixe pour objectif d'élever le niveau de santé de la population mondiale. L'OMS a pourtant connu de bons débuts. Sa politique anti-variole, lancée sur proposition soviétique à la fin des année 50, comptabilise d'importants effets positifs. Au fil des décennies, les luttes (fièvre jaune, SIDA) se multiplient.
La raison de cette critique tient grandement aux relations très amicales entre l'actuel secrétaire, l'éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus et Pékin. Le secrétaire doit beaucoup à la Chine pour son élection à la direction de l'organisation. Il est maintenant accusé d'avoir trop fait confiance aux informations données à Pékin sur sa gestion du COVID-19. Pour la chercheuse Valérie Niquet, « l'OMS a suivi pas à pas toutes les déclarations chinoises, les répétant comme un perroquet. L'OMS n'a pas joué son rôle mais c'est exactement ce que voulait Pékin. De la même manière, elle a refusé de redonner un siège d'observateur à Taïwan, ce qui était une exigence de la direction chinoise ».
Cette situation a agacé au plus au point les Etats-unis qui a déclaré suspendre son financement à l'organisation mi-avril, pour finalement annoncer début juin son départ de l'organisation.
Une chose est sûre. Le retrait des Etats-unis de l'organisation auxiliaire de l'ONU ne sera pas sans conséquences. Les discussions seront beaucoup plus simples pour les autres puissances sans l'oncle Sam. Malheureusement, l'OMS devra sûrement revoir ses projets à la baisse. Avec une participation financière de 15%, c'est tout le budget de l'organisation qu'il va falloir revoir.
Que faire maintenant ?
L'OMS pourrait demander une plus grande participations aux pays. Cela reste peu probable vu les difficultés économiques qui se préparent pour de nombreux pays.
Il est plus probable que l'OMS laisse une place plus importantes aux ONGs et investisseurs privés. N'oublions pas que la fondation Bill et Melinda Gates est le second contributeur de l'OMS à hauteur de 10%. Ils ne sont pas les seuls. On retrouve également à titre d'exemple le Rotary Club International. Avec de tels sponsors, on ne peut que se questionner sur les conflits d'intérêts qui traversent l'OMS. L'investissement privé est une boîte de pandore qui risque d'être coûteuse pour l'OMS au niveau de sa crédibilité et de sa neutralité.
Crédits : Podcasts CNRS (https://www.youtube.com/watch?v=v_PTHz6bz1Q) + informations générales wikipedia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_mondiale_de_la_sant%C3%A9)
Lun 8 Juin - 21:11 - -
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Park Ha Reum
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Titre : Quelques pistes pour être tendance cet été
Peur du fashion faux pas cet été à la plage ? Avec cet article, les secrets des tendances de cet été n'auront plus aucun secret pour vous. Voici quelques pistes pour cet été !
→ Les crop top / hauts court Cela fait un moment maintenant qu'ils se sont imposés dans nos garde-robes. Il n'y a aucune raison pour qu'ils partent. Attention à son ventre et à bien mettre un pantalon/short taille haute. On frôle bien souvent l'incident avec un pantalon taille basse.
→ les gros imprimés Distanciation sociale oblige, on mise sur des gros imprimés pour être vu de loin. Les imprimés fleuris sont indémodables de la période estivale, mais d'autres imprimés sympathiques sont à découvrir (Rayures, vichy, paisley, etc.) ! On mise avant tout sur l'originalité !
→ Les tie-&-dye ! Et oui, on n'y croyait plus mais pourtant ils font leur grand retour. Venus tout droit des années hippies, ils ne nous ont jamais vraiment quitté. Du fait du retour à la mode des imprimés flashy, mais également des formules DIY, les tie-&-dye seront de retour pour cet été.
→ surtout pas d'assortis On a vu ces derniers mois des tentatives d'assortis pointer le bout de leur nez. Cristina l'a toujours dit. On n'assortit jamais. Il n'y a aucune raison de déroger à cette règle. Attention ! La tentation est parfois grande quand on voit cet adorable crop top fleuris, et son équivalent en jupe à -25% sur Shein. On ferme les yeux pour cette fois-ci et on vous recommande par contre à mettre l'accent sur vos accessoires et vos chaussures.
→ Des grosses lunettes de soleil Aucune grosse surprise sur ce point, on les avait déjà vu l'année dernière. En forme extravagante, de chats, etc., on mise encore une fois sur une originalité. Pas question de ressembler à son voisin, sa voisine.
→ Patte d'eph' ? Gros mystère de l'été, personne n'est encore vraiment fixé sur le sort à réserver aux pattes d'eph'. On admet nos réserves sur cette question. Même si son association avec un crop top peut donner un look aéré, on frise rapidement le déguisement années 80.
Quelles sont vos recommandations ? Laissez-nous un commentaire !
Source : 20h de ma vie perdue à regarder les Reines du Shoppping
Mer 22 Juil - 19:32 - -
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Park Ha Reum
manager de factory - admin
Titre : Suicide du maire de Séoul, une vie exemplaire soudainement assombrie par des accusations d'harcèlement sexuel
Park Won-Soon ne tentera pas de brider la présidence de la nation en 2022. Le corps du maire de Séoul a été trouvé dans le nord de la ville sans vie. La police s'oriente vers un suicide. Âgé de 64 ans, sa disparition avait été signalée la veille par sa fille. Il laisse derrière lui une lettre de suicide avec des courtes excuses. Est-ce envers son geste ou bien envers la victime de ses malversations ?
Il convient de revenir sur cette figure politique importante. Sa carrière politique, il la commence déjà sur les bancs de l'université. Il sera expulsé de l'Université nationale de Séoul, puis emprisonné pour sa participation à une manifestation contre la dictature militaire du président Park Chung-Hee. Cet événement ne l'empêchera pas de faire de brillantes études, tout d'abord à l'Université DanBook puis à la prestigieuse London School of Economics où il obtiendra un diplôme de droit international.
D'abord procureur à Daegu au début des années 90, il quitte rapidement la fonction publique pour rejoindre le privé. Il devient alors avocat des droits de l'Homme, puis rejoint des organisations philanthropiques. Longtemps indépendant (c'est d'ailleurs sous cette étiquette qu'il gagne la capitale au nez du candidat soutenu par l'ancienne présidente Park Geun-Hye), il rejoint officiellement le parti démocrate en 2012.
Son décès suit les accusations de harcèlement sexuel formulées quelques heures plus tôt par une ancienne secrétaire personnelle. Elle déclare à ce sujet, "il m'a harcelée sexuellement et a eu des gestes inappropriés durant les heures de travail". Il insistait notamment pour qu'elle le rejoigne dans la chambre à coucher attenante à son bureau. Après le travail, il lui envoyait via une messagerie "des selfies de lui en sous-vêtements accompagnés de commentaires obscènes".
"J'ai essayé d'oublier, en supportant une peur et une humiliation énormes, en me disant que c'était dans l'intérêt de la ville de Séoul, de moi-même et du maire M. Park", a-t-elle dit, selon le document.
La police a confirmé le dépôt de plainte mais aucun des détails figurant dans ce document.
Comble de l'ironie, lui qui était accusé d'harcèlement sexuel, a été lors de sa carrière d'avocat un des premiers du pays à obtenir une condamnation pour ces faits. Il défendait également avec véhémence le dossier des femmes de réconforts.
Le porte-parole du ministère en charge des relations entre les deux Corées annonce dans un communiqué en ligne que « La Corée du Nord a fait exploser le bureau de liaison de Kaesong à 14 h 49 » (6 h 49 GMT). Nos confrères de Yonhap avait fait état de ces faits quelques minutes auparavant.
Heureusement, aucun blessé n'est à déplorer. Le site avait été évacué quelques mois auparavant en raison de l'épidémie de coronavirus. Inauguré avec beaucoup de bons sentiments en 2018, il ne reste du bureau de quelques étages qu'un tas de gravas. Ce bureau était une des fiertés du président Moon Jae-in illustrant ses tentatives de se rapprocher avec le frère nord-coréen.
Cet événement n'est pourtant pas surprenant. Depuis le début du mois, Pyongyang a multiplié les menaces. Le régime nord-coréen avait déjà annoncé la fermeture de ses canaux de communication politique et militaire avec les autorités sud-coréennes.
L'élément déclencheur aurait été les actions répétées de transfuges nord-coréens et d'activistes qui, depuis le Sud, envoient au nord des ballons dans le ciel par-delà la zone démilitarisée (DMZ). Evidement, cet envoi de ballons est bien loin d'être une simple démarche artistique quelconque. Les transfuges et activistes accrochent aux ballons des tracts dénonçant les sévices du régime nord-coréen, et ses ambitions nucléaires. Les autorités n'ont ni apprécier la démarche artistique, ni l'innovation en terme de diplomatie.
De cette malheureuse triste histoire, il faut tout de même souligner l'habilité assez impressionnante de la Corée-du-nord à toujours s'inviter sur l'agenda politique. Même quand les négociations diplomatiques sont au point mort, qu'une pandémie mondiale d'une gravité inouïe se déroule, la Corée-du-nord arrive à sortir son épingle du jeu. Il faut l'avouer, à ce stade, c'est un talent.
Nouveau regain de tensions entre le Japon et la Corée du sud. Il n'est pas cette fois-ci question d'un t-shirt, mais d'une statue.
En effet, le parc du jardin botanique de Pyeongchang détient une statue représentant une jeune fille en hanbok, assise. Elle ressemble à la statue de la paix, Pyeonghwabi, installée devant l'ambassade du Japon à Séoul. Elles représentent toutes les deux les milliers de femmes coréennes arrachées de leur foyer pendant la seconde guerre mondiale pour "servir" dans des bordels japonais, à disposition des troupes militaires japonaises.
La statue du jardin botanique de Pyeongchang, en soi, ne posait pas de problème à la diplomatie japonaise. Ce n'est pas le cas de la statue de l'homme agenouillé devant elle. Certains observateurs trouvent dans les traits de la statue masculine ceux de l'actuel premier-ministre japonais, Shinzo Abe. Nommé "réparation éternelle", il n'en fallait pas plus pour titiller les japonais
Le secrétaire en chef du cabinet du premier ministre, Yoshihide Suga a annoncé que si la statue n'était pas retirée du jardin botanique, cela serait un "impact décisif" dans les liens diplomatiques unissant les deux pays.
Il est à rappeler à quel point la question des femmes de réconfort est une question épineuse dans les relations diplomatiques entre les deux pays. La décision du gouvernement de Moon Jae-in, en 2018 de dissoudre la fondation japonaise pour supporter les anciennes femmes de réconfort avait créé l'incompréhension et déjà un regain de tensions. Egalement, une manifestation est organisée devant l'ambassade du Japon depuis 1992, tous les mercredis midi pour faire reconnaître, notamment le statut de crime de guerre à la prostitution systématique de ces femmes, passée sous le silence pendant des décennies.
Un peu partout dans la capitale mais également dans les grandes métropoles coréennes, nous avons vu fleurir de nombreuses affiches énigmatiques. Des affiches mystérieuses commencent à fleurir dans les rues de Séoul. Des spots publicitaires diffusent des messages encore vagues.
Même si l'identité de l'entité derrière cette campagne publicitaire n'est pas clairement exprimé nous la devinons rapidement : Produce U.
Serait-ce un retour de l'émission ? Un reboot des U-Niverse en plein naufrage ? Mais que nous prépare donc Produce U ?
Sam 1 Aoû - 22:56 - -
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Park Ha Reum
manager de factory - admin
Titre : C'est (presque) officiel, une nouvelle saison de Produce U arrive !
Image :
C'est officiel l'émission Produce U prépare son grand retour. Vous pouvez découvrir leur dernier spot publicitaire ci-dessous. Alors, oui, bien sûr, rien n'est clairement déclaré comme dans la majorité des cas avec Produce, mais nous avons appris à lire entre les lignes. Derrière ces images de libre de droit, croyez-nous, se trouve la porte vers une seconde saison de l'émission.
Vous aurez besoin pour 6 personnes (ou une seule personne très très gourmande et n'ayant pas de diabète à son actif) : - 200 g de chocolat à pâtisser noir - 100 g de beurre - 3 œufs - 50g de farine - 100 g de sucre
Maintenant que votre liste de course est faite, il est temps de préparer ce délicieux gâteau au chocolat.
1. Préchauffer votre four à 180°C (thermostat 6 pour les autres).
2. Faire fondre le chocolat et le beurre, coupés en morceaux dans une casserole à feu très doux. Il est possible pour les plus craintifs d'entre nous de faire fondre le beurre et le chocolat au micro-onde, dans un contenant adapté.
3. Dans un saladier, à côté, ajouter le sucre, les oeufs et la farine. Bien mélanger jusqu'à la disparition des grumeaux.
4. Ajouter le mélange chocolat/beurre (que vous n'avez pas oublié sur le feu). Mélanger une nouvelle fois.
5. Beurrer le moule et fariner le, puis verser la pâte. (grattouiller le fond du saladier pour récupérer quelques restes de pâte à gâteau et vous régalez)
6. On fait cuire pendant 20 minutes !
7. A la sortie du four, le gâteau a bien souvent une mauvaise tête. Pas de panique ! Laissez-le refroidir tranquillement, démoulez-le et invitez vos amis à le déguster avec vous !
Alors vous nous invitez quand pour manger ce fameux gâteau ?
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